En route pour le pont 6

Messages : 27 Date d'inscription : 12/09/2009

Mayumi était encore sous la surprise de la chute puis elle avait suivit instinctivement les consignes qui lui disait de ne peut plus bouger, mais après quelque minute elle repris enfin ses esprit il était donc temps pour elle de remettre son cerveau en marche. Elle voyait donc ces choses qui onduler tout autour d'elle qui s'aventurer même sur elle comme pour la découvrir a taton comme un aveugle ait pour réparer les visage des personnes qu'il découvre.

Évidement elle avait un peu peur et puis cette sensation était étrange. Elle était partagée entre le fait de vouloir partir en courant et aussi le fait de découvrir qui était ces étranges formes vivantes. C 'est alors qu'elle utilisa la fonction principale de sa paire de lunette.

Puis elle se mis a regarder ces serpents qui bougeaient un peu partout autour d'elle. C'est a ce moment la qu'elle eu un grand sourire, ce genre de sourire que l'on a quand on fait une découverte importante, ou lorsque qu'on déballe un cadeau à noël.

Quand le jeune homme lui demanda si elle allait bien, elle ne pu que hocher la tête. On ne sait pas si c'était en guise de réponse ou simplement parce qu'elle était ravit de voir ce spectacle. Puis après quelque secondes et après avoir entendu Eve redemander une nouvelle fois si tout le monde allait bien, qu'elle s'exprima mais ce n'était pas vraiment la réponse qu'on attendait.

- C'est génial, Ce n'est pas référencé, pas référencé !! Il faut absolument que j'en ai un morceau, oui un morceau !

Elle était tout excitée en disant cela elle avait presque oublié la situation peu confortable ou elle était. La première étape était d'enregistrer les informations qu'elle avait recueillit, même si tout ce que ses lunettes lui disait était que les composant de cette créature était inconnu sur terre, c 'était déjà un début d'information intéressante et surtout ce pourquoi elle était la.

Maintenant un autre problème se posait. Avoir un peu d'information c 'est bien mais ca n'allait pas l'aider à en apprendre plus et surtout ne pas faire avancer ses recherches. Il lui fallait donc un échantillon mais dans sa position il était difficile de faire quoique ce soit. Son équipement était dans son sac à dos : Scalpel,éprouvette et tout le reste. C'était donc un problème auquel il fallait qu'elle réfléchisse, elle était a présent dans son monde à elle.

Elle ne pouvait pas bouger ni arracher un morceau de la bestiole. On lui avait dit de ne pas faire un mouvement et qui sait qu'elle réaction cette bestiole pourrait avoir si on prenait un bout d'elle sans lui demander son avis. Il fallait donc trouver une autre solution.
Le mieux serait d'avoir un exemplaire entier mais comment faire, telle est la question auquel son esprit allait passer les prochaines minutes dans cette situation.

Scientifique Officieux Messages : 35 Date d'inscription : 20/09/2009 Age : 30

... décrire ça...
Non.
C'est limiter. Enfermer dans des mots, des idées, des choses connues.
Ca...
C'est rien de connu.
C'est tout ce qui est inconnu.
Ce qui ravit et qui fait peur et fait frissonner, sourire, trembler.
Qu'est-ce que j'ai le coeur qui tape...

Elle reste à moitié allongée sous la caresse de ces longues fibres qui ondulent sur sa peau, se glissent le long de ses bras nus et sur sa gorge, fouillent dans ses cheveux, se risquent sous ses vêtements trop larges... Ca la chatouille et elle rit.

Le mouvement de Tyrus attire son attention, mais ne parvient pas à la capter bien longtemps. Sauf quand il agite le faisceau de la lampe qu'il vient de ramasser en direction de deux petits points d'or qui s'enfuient aussitôt...

Pas eu le temps de voir... Et ça a filé de l'autre côté... Tant pis.

Pendant qu'elle se perd encore dans l'immense étendue ondoyante, elle perçoit la voix anxieuse de Qays, puis celle d'Eve. Et elle entend sa question aussi. Mais il faut quelques secondes avant que ça percute...

Pas bouger ? Mais...

Elle lève un bras, très doucement, les fibres la retiennent, oui, mais finissent par relâcher leur étreinte, sur une sorte de caresse, comme à regret. C'est très doux... Elle sourit encore... Elle finit de se dégager, lentement. Tout juste si elle n'a pas envie de leur murmurer qu'elle est là, qu'elle ne s'en va pas tout de suite. Les mains tendues pour frôler les longues fibres qui s'enroulent autour de ses cuisses et ondoient sur ses paumes, elle se dirige vers les autres. Arrivée près de la grande black, elle examine son corps entrelacé de fibres qui s'enroulent entre elles...

Ah oui... Ligotée, qu'elle est.

Attends... T'agite pas, tu dois avoir un truc qui leur plaît particulièrement... Y'en a plus autour de toi, mais elles vont se dénouer.

Elle a parlé d'une voix calme, un peu rêveuse, même. Doucement, elle frôle les fibres tordues en câble qui entravent le bras gauche d'Eve, les pousse un peu d'un côté, de l'autre, leur fait lâcher prise, sans tirer, un peu comme on convainc un bébé chat d'arrêter de se battre avec un coussin de soie, en lui proposant un autre jeu... Les tiges souples ondulent un peu, se relâchent, se dénouent, elle glisse sa main sous la "mèche" étrange pour l'éloigner de la peau d'Eve, la repousse sans gestes brusques quand elle tente de revenir. Le bras se libère.

Tu vois...

Elle sourit mais sans doute que personne ne la voit.
Accroupie à côté de la grande femme, elle entreprend de libérer son cou.

Quand elles t'auront laissé un peu de champs libre, redresse-toi...

Ses chatouilles et ses diversions sont efficaces, mais les "herbes" ont l'air empressées de revenir se coller à Eve... Elle rit.

Eh ben... Elle doivent aimer le chocolat...

Et tout en continuant à aider Eve à se dégager :

Dites, vous voyez aussi cette lueur, par là ? Vous croyez que c'est une issue ?

Elle a donné un coup de menton vers le "par là".

Enfin ceux qui ont des implants ou des lunettes IR, je veux dire.
Parce que pour repartir d'où on est venus, euuuh...

Grimace.
Le plafond, on ne le voit même plus... ou à peine.
Il est à plusieurs mètres au-dessus de leur tête. Combien, elle n'arrive pas à le déterminer. Trop, de toute façon.

IA principale Messages : 143 Date d'inscription : 05/07/2009

Les douces herbes ne font rien de bien méchant, simplement les peaux chaudes au rythme cardiaque élevé les attirent plus que d'autre. Car vous vous en rendez bien compte, vous commencez à sentir la morsure du froid à travers vos vêtements. Ce n'est pas un froid intense, plus celui d'une matinée brumeuse d'automne. La forme de vie étrange laisse Eve s'échapper de son étreinte et retombe paresseusement ne caressant que les chevilles des aventuriers sans entraver leur mouvement. Seules celles du côté de Mayumi sont plus tendues et nerveuse, une mise en garde peut être ?

Le scientifique "Chef de l'expédition" se releva et tapa sa lampe torche contre son genoux avant que celle ci ne se ravive paresseusement.

- " Et bien, nous voila tombés dans je ne sais quel invention farfelue."

Il éclaira les environs mais ne voyait pas loin. La lumière semblait s'être étendue dans une lumière légèrement orangée. Curieux il prit un moreau de roche et le balança aussi haut que possible, celui ci retomba sans rien heurter. Il alla rechercher son morceau de caillou et se plaça sous la chute du petit groupe d'explorateurs. Il le rebalançat alors aussi fort que précédemment mais le projectile ne monta pas bien haut. Quelques mètres au dessus il heurta un élément solide. Le morceau de noir alors qui régnait au dessus d'eux fut parcouru d'éclairs brillants à travers duquel on pouvait observer le métal si familier désormais du codex.
Rya s'épongea le front d'un air perplexe, une illusion?

- Bon quoi qu'il en soit, la miss à raison, nous devrions avancer vers la zone éclairée, qui sait ce que nous reserve ce vaiss...

Un grognement lointain retentit derrière eux.

- Et vite...

Il prit son sac et marcha d'un geste vif et fluide vers la source de luminosité. Et oui, les grands espaces plongés dans le noir n'était pas spécialement son truc...

Mécanicien Messages : 16 Date d'inscription : 21/09/2009 Age : 52

Tyrus avait utilisé une ruse de Sioux pour ne pas se fatiguer à compter les formes mouvantes dans les ténèbres, d’autant que le sol même était assez instable pour donner l’illusion de la présence de nombreuses autres personnes : il avait énuméré les voix. Le beau gosse ? Check. La fille qui faisait de l’œil au beau gosse, à moins que ce ne soit l’inverse ou la réciproque égale ? Check. La gamine et son sac taille XXXL ? Check. La nana et ses lunettes high-tech ? Check. Le guide empoté ? Check. Pas de pertes. La fibre sécuritaire du cyborg trouvait cela plutôt rassurant et encourageant pour la suite. Mais sa fibre héroïque, pourtant soigneusement inhibée par des années de pratique, fit entendre sa voix, susurrant qu’une perte ou deux rendraient le défi bien plus intéressant, et le triomphe plus savoureux. L’ambiance changerait aussi : plus question de se faire des papouilles oculaires.

Voyant la torche dans sa main, il comprit l’éveil de ce côté caché de sa personnalité : il avait fait une erreur grossière, et sa conscience ne cessait de le lui rappeler. « Pourquoi, bougre d’abruti, est-ce que tu as pris cette torche ? Hmm ? Et à ton avis, maintenant, qui c’est qui va devoir se placer devant pour explorer ? Qui c’est qui va s’exposer aux pièges ? Hein ? T’as vraiment rien dans le citron ! Tu dev… » Habitué à se faire insulter par sa conscience, Tyrus finit par cesser de l’écouter. Des conneries, il en avait fait toute sa vie, c’était une sorte de tradition. Celle-ci s’inscrivait dans une longue et prestigieuse lignée, et faisait franchement partie des moins dramatiques.

Cela dit, l’idée de s’approcher d’un de ses camarades – au hasard, la petite frêle, qui semblait de loin la moins apte à lui résister physiquement – et de lui fourrer la lampe dans la main en disant d’un air autoritaire « Passe devant. » lui effleura l’esprit. Sauf que non content de passer pour une ordure de première, il s’octroierait le statut de « l’enfoiré que tout le monde s’accorde à sacrifier en cas de problème », et c’était contraire à son objectif de survie. En plus, il était assez foncièrement sympathique pour refuser l’idée même. Il était capable de l’élaborer, mais pas de l’appliquer. Une sorte de Judas refoulé.

Par bonheur, le guide était sorti de sa bibliothèque lui aussi muni d’une lampe, et en tant que chef, il avait une bonne raison d’ouvrir la marche. Il l’ouvrit même très vite, vraiment très très vite. Les grognements n’y étaient certainement pas étrangers. Tyrus voulut lui emboîter le pas, mais il n’était pas certain que les autres s’y repèreraient. Enfin, le cyborg, si, mais sa poule, ainsi que les deux autres gonzesses, non. Qu’on soit clairs : Tyrus n’était pas un charmeur, Tyrus était encore moins un Casanova, mais Tyrus répugnait à prendre la poudre d’escampette en oubliant toutes les nanas de la mission en cours de route, tout ça parce qu’elles avaient eu la mauvaise idée de préférer des yeux biologiques. Du coup, plutôt que de coller aux basques du rat de bibliothèque, il se retourna.

- Suivez-le, celles qui n’ont pas de lampe.

Sa conscience trouva des termes d’une impolitesse exquise pour lui dire ce qu’elle pensait de son attitude de capitaine de navire en détresse. Il s’en moquait, il ne fit qu’éclairer la zone d’où il avait l’impression d’entendre provenir les grondements. Sans grand espoir d’y voir quelque chose, mais les bestioles ne devaient pas être très habituées à voir la lumière, par ici. Ca pouvait les effrayer. Comme un remède de grand-mère appliqué à une mission-suicide.

Civil Messages : 40 Date d'inscription : 20/09/2009 Age : 44

Comme à regret, après une dernière caresse joueuse, les herbes tentaculaires le lâchent et le libèrent.
Il se redresse, se frottant machinalement les bras.
Fait frisquet ici.... pense-t-il en se dirigeant d'un pas vif vers Eve. Presque sans y penser, il augmente la libération hormonale de ses surrénales pour augmenter sa température corporelle.

Il adresse un hochement de tête à la gamine, mi salut mi remerciement, avant de chuchotter à Eve.
Tout va bien ?
Bouts des doigts qui frôlent son épaule, sa joue.

Une nouvelle torche s'allume et c'est maintenant deux rayons qui balaient la scène, s'entrecroisent, s'éloignent au gré des mouvements de leurs propriétaires.

Tandis que le Grand Mou teste les volumes, Qays regarde autour de lui. Une sorte de prairie dégageant un peu de chaleur et, vers l'avant, une lueur orangé qui pointe et se répand comme un sirop. L'air est frais et l'image d'un débardeur bordeaux surgit soudain dans son esprit. D'un débardeur bordeaux et d'une peau sombre frissonnante.
Il entoure la taille d'Eve d'un bras, jouant jusqu'au bout les chevaliers servants.
Ou comment paraitre serviable tout en se faisant plaisir.

Un bruit derrière eux se fait entendre, poussant Mac à terminer rapidement ses expérimentations pour se lancer à la conquête du Grand Inconnu, tant que le susdit inconnu n'émet pas de grognements.

Le cyborg lui, a manifestement l'intention de jouer les héros et d'attendre la bête, se sacrifiant pour le bien commun.
C'est beau.

Leur guide s'éloigne déjà. Attrapant la main d'Eve, Qays commence à le suivre.

Après quelques minutes de marche, il bifurque brusquement, avec un léger rire, entrainant la belle noire et s'éloignant du groupe. Face à l'étonnement amusé d'Eve, il se contente de poser un doigt sur ses lèvres.

Elle a suivit les directives de la jeune fille, avec un sourire surpris.
Les herbes étrangères se pliaient de mauvaise grâce aux petites mains, et Eve ne pouvait qu’être agréablement étonnée, en fin de compte, des réactions des choses comme de l’aide sympathique de la petite brunette.
Confusément, elle a tenté de se rappeler de son prénom, et a finit par abandonner, se relevant enfin, libérée, avant de murmurer un sincère « Merci ».

Un chuchotement qu’elle reconnait, le corps de Qays dans la pénombre. Ses doigts qui l’effleurent la font frissonner.
- Oui… , répond t-elle simplement.

Difficile dans ce noir étrange, entrecoupé des faisceaux des torches, de capturer ses yeux. D’y lire ce qu’il ressent, et d’y comprendre un peu de ce qu’il se passe.
Il met un terme à ses doutes en enlaçant sa taille, comme une réponse tacite. A lui le geste, même lorsqu’ils ne jouent plus. Et cela la rassure.
Dans un discret soupir, elle savoure sa chaleur, et s’appuie contre lui, côté contre côté. Un bras brun imite le sien, et elle accroche ses doigts à une poche arrière de jean.
Pratique. Pas seulement. Le contact avec la forme reconnaissable d’un paquet de cigarettes, l’amuse.

Elle sourit en cherchant du regard à identifier tout ce qui les entoure.
Un grognement inattendu, un tressaillement qu’elle a du mal à dissimuler, et le groupe se met en mouvement à la hâte, vers un inconnu pas forcément moins dangereux.
Qays récupère sa main baladeuse, et l’enserre dans une des siennes.
Une lumière devant, guidant la voie. Une autre à l’arrière, fermant la marche.
Des autres, elle ne perçoit pas grand-chose. Suivant les pas de son compagnon, elle sait qu’elle ne risque pas de marcher sur une des filles de l’expédition. Mais ce qui se trouve sous ses pieds, c’est une autre histoire.
La caresse de ces plantes mystérieuses finit par ne plus la faire frémir. S’en est même plaisant, puisqu’elles n’essayent plus de la saisir.
Les frôlements duveteux sur la peau nue de ses jambes lui font peu à peu oublier les petits yeux luminescents croisés plus tôt. Apres tout, elle a peut être imaginé. Et l’homme aussi. Une illusion, voilà. Sans doute.

Un petit rire et la main de Qays la tirent de ses pensées. Elle a juste le temps de lui adresser un regard interrogatif et de le sentir intimer au silence, ses yeux pétillants de malice, avant que les faisceaux de lumière ne s’éloignent.
Mordillement de la lèvre inférieure, amusée comme une enfant. Il veut faire l’école buissonnière, dans un lieu inexploré et périlleux. L’excitation s’ajoute avec délice à l’appréhension.

Ils s’enfoncent dans les herbes hautes, se baissant un peu, comme de peur de se faire prendre.
Des évadés d’une mission sérieuse.
Des inconscients.
Des rêveurs.

(s'éloignant...)

Messages : 27 Date d'inscription : 12/09/2009

Mayumi était encore la a s'interroger sur comment obtenir des informations sur les choses qui étaient en train de parcourir son corps. C 'est à ce moment la qu'elle eu son éclaire de génie, ca lui arrive parfois surtout quand c 'est pour elle une question de presque vie ou de mort. Elle fouilla dans sa poche et en sorti un mouchoir en coton blanc basique. Elle le garda dans sa main et aller le frotter délicatement contre une des formes de vie afin de récolter quelque possibles résidus afin de pouvoir les garder et les étudier un peu plus tard.

Fière de sa trouvaille, elle continua à observer son mouchoir. Puis elle fut tirer de ses songes par le mouvement autour d'elle. A travers ses lunettes elle voyait tout le monde debout. Elle voyait encore les choses près d'elles, puis après quelque seconde elle se risqua à se lever tout doucement. Après avoir ressentit une légère mais alors très légère résistance, les formes la laissèrent se relever.

Sur le coup, elle ne savait pas trop quoi faire. Enfin ce sentiment ne dura pas bien longtemps quand elle entendit la voix du vieux. Oui enfin elle disait vieux car il était plus agé qu'elle et qu'il avait pas vraiment la tête de jeune qui s'éclate avec des jeunes..

- Suivez-le, celles qui n’ont pas de lampe.

C'était claire, Elle n'avait pas de lampe, c'était une fille, il était donc sur que ce message s'adressait à elle. Elle chercha du regard la personne qu'elle devait suivre. Par déduction c'était forcement quelqu'un qui avait une torche et qui était plus en avant qu'elle. Elle aperçut donc à ce moment, l'homme qui partait une torche à la main et après s 'être époussetée elle se mit donc a le rejoindre, cherchait du regard la jeune fille afin de ne pas trop être éloigné d'elle.

Elle ne prêta pas attention au couple qui avait disparu bien trop occupé à a faire ce qu'on lui avait dit et a ne pas perdre la trace de son guide et de la jeune fille. Et les voila reparti en route pour l'exploration.